Être Et Mieux-Etre
EEME - Consulter - Xabi_c

Se faire aider pour aller mieux

Après des événements douloureux ou lorsque vous rencontrez des difficultés personnelles, faire la démarche d’aller voir un thérapeute est une étape qui n’est pas toujours évidente à franchir. Alors, à quel moment sauter le pas ? Pour quelles raisons et quels bénéfices ?

Pour qui ?

Le thérapeute aide celui qui vient le consulter à révéler les différentes facettes de lui-même, à condition que ce dernier en ait le désir. Bien souvent, une part de nous-même préfère se réfugier dans l’insatisfaction plutôt que d’affronter l’inconnu. Le thérapeute n’est pas un juge, et le cabinet est un espace neutre où il est possible de tout dire. La relation thérapeutique instaure alors une intimité et une distance respectueuses.

Pour quoi ?

C’est d’abord pour mettre fin à un malaise intérieur ou affectif très difficile à vivre que l’on consulte. Il s’agit alors de combattre une souffrance et de conquérir son propre mieux-être. Attention, on ne suit pas une thérapie pour faire plaisir aux autres !

EEME - Consulter - Xabi

Quels bénéfices ?

Une thérapie est là pour apaiser un mal-être et modifier la relation à soi et aux autres. Elle apporte une meilleure connaissance de soi. Elle développe le sens du réel et l’estime de soi tel que l’on est, par l’acceptation de ses manques et le renoncement à ses fantasmes compensateurs. Pour cela, il existe plusieurs outils thérapeutiques que le thérapeute pourra utiliser en fonction de la personne qui vient le consulter ainsi que de sa problématique.

Une thérapie facilite l’aptitude à communiquer pour de plus harmonieuses relations avec les autres. Elle permet de traiter les angoisses apportant plus de sérénité au quotidien et stimule le processus de développement personnel. Elle conduit également à prendre la pleine responsabilité de ses choix dans tous les aspects de sa vie. Ainsi, une thérapie permet d’acquérir une autre façon de voir les choses permettant un état de bien-être intérieur.

Le succès d’une thérapie dépend essentiellement de l’engagement, de la sincérité et des motivations réelles de la personne qui entreprend cette démarche. Il dépend aussi de sa persévérance car il arrive parfois d’avoir envie d’arrêter avant même d’aborder une problématique plus difficile ou plus inconsciente.

Enfin, une thérapie constitue une aventure personnelle pour atteindre le bien-être, puis le mieux-être.

Et vous, avez-vous déjà songé à consulter ?


Bibliographie EEME Consulter

Marie-Joséphine Mazza

Praticienne Certifiée Hypnose & EMDR

Consultation sur rendez-vous au 06 59 70 60 47

18 rue Pierre de Coubertin – 33700 Mérignac

Etre Et Mieux-Etre – eeme.fr


Lire pour aller bien

Les livres éclairent, cultivent, divertissent. Ils nous permettent également de nous former, de nous motiver ou de prendre du recul. Depuis l’ancienne Égypte, les livres sont perçus comme des guérisseurs de l’âme. Encore aujourd’hui, lire nous fait du bien. Mais comment un livre peut-il nous aider à avancer ou à réussir dans la vie ? Et existe-t-il réellement des lectures qui guérissent ?

EEME - Lire - Xabi

Lire pour apprendre

« Lisez 500 pages tous les jours. C’est ainsi que se bâtit la connaissance. » - Warren Buffett

Bon nombre d’individus ont couché sur le papier le fruit de leurs réflexions, de leurs recherches ou de leur imagination au cours de leur existence. Ainsi, la lecture est un formidable puits intarissable de ressources. Celles-là mêmes qui nous permettent d’enrichir notre vocabulaire, de construire nos idées, de trouver notre voie et d’apprendre un métier.

Lire est un puissant vecteur d’autonomie et de liberté.

« Plus vous lirez, plus de choses vous saurez. Plus vous apprendrez, plus de lieux vous visiterez. » - Dr Seuss

Les livres, que ce soient des fictions, des histoires vraies ou des guides pratiques, ont cette formidable capacité à faire grandir. En effet, accroître son savoir, c’est démultiplier sa capacité de réflexion. Et réfléchir, c’est voir le monde sous un autre angle. Enfin, prendre la mesure de ces nouvelles perspectives, c’est s’ouvrir à nos champs des possibles.

Lire est un magnifique voyage qui nous bouleverse et nous transforme.

« Lire, c’est boire et manger. L’esprit qui ne lit pas maigrit comme le corps qui ne mange pas. » - Victor Hugo

Les livres ont ce pouvoir de nous renvoyer à nos histoires personnelles en nous retrouvant dans les propos de l’auteur. Cela laisse alors la place à l’introspection, l’espoir ou la modification de certains aspects de notre existence. Ainsi, les ouvrages nous donnent parfois les clés du changement, les pistes de réflexion ou les bonnes pratiques. Mais ils nous invitent surtout à trouver nos réponses et notre propre vérité.

Lire c’est partir à sa découverte.

Lire pour apaiser

« Lire une idée dans un livre au bon moment et dans le contexte approprié aura bien plus d'effets que de lire dix livres sans aucun rapport. »  - Vu Tran

Lire améliore notre faculté à considérer et interpréter nos émotions ainsi que celles des autres. Cela nous aide à être plus empathiques. En effet, les romans nous offrent l’opportunité de nous identifier aux personnages, de souffrir, de rire ou d’aimer à leurs côtés.

Les livres nous aident également à réfléchir sur nos problématiques. D’ailleurs, l’art d’accompagner avec des livres s’appelle la bibliothérapie. Ce terme n’a pas été choisi par hasard. Mais si certains textes peuvent déclencher une prise de conscience chez les uns, ils peuvent également n’avoir aucun impact sur d’autres.

Ainsi, les livres sont de formidables outils thérapeutiques sans pour autant se substituer aux effets de la rencontre humaine. En effet, entre la lecture, la compréhension et la mise en pratique, il est parfois utile d’avoir recours à une aide extérieure pour dépasser ses blocages et amorcer une réelle transformation.

Lire, c’est apaiser ses maux avec des mots.

« L’imagination est une carte postale que l’on s’envoie à soi-même. » - Nadine Monfils

Lire, c’est distraire son esprit et éloigner les pressions quotidiennes. Ainsi, prendre un livre avant de dormir, c’est s’offrir un scénario où l’esprit peut se libérer, relativiser et se sentir en sécurité. S’abandonner à la lecture réduit non seulement considérablement nos niveaux de stress mais amène aussi à la détente grâce au relâchement des muscles et au ralentissement de la respiration.

Pour notre bien-être, la lecture est la meilleure alternative à la télévision ou aux appareils électroniques. Car lire c’est aussi stimuler sa mémoire, accroître son agilité mentale et doper son imagination. C’est également s’entraîner à l’art de la détente et de la tranquillité.

Offrez-vous des moments de calme et de détente : lisez !

Et vous, quel livre vous a fait du bien ?

Suggestions de lecture

EEME - L'alchimiste - Paulo Coelho

L’alchimiste – Paulo Coelho

Santiago, un jeune berger andalou, part à la recherche d'un trésor enfoui au pied des Pyramides. Lorsqu'il rencontre l'Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son cœur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve. Merveilleux conte philosophique destiné à l'enfant qui sommeille en chaque être, ce livre a déjà marqué une génération de lecteurs. | Acheter sur Amazon



Bibliographie EEME
Consulter


Marie-Joséphine Mazza

Praticienne certifiée Hypnose & EMDR

Consultation sur rendez-vous au 06 59 70 60 47

18 rue Pierre de Coubertin - 33700 Mérignac

Etre Et Mieux-Etre - eeme.fr


EEME - Identité - Mathieu Metzger

L’identité

Nous n’avons pas choisi notre prénom, notre famille ou notre nationalité. Notre éducation et notre environnement nous ont conditionnés, nos expériences et nos rencontres façonnés. Ainsi, notre identité nous semble imposée. Si nous sommes ce que le passé et les autres ont fait de nous, quelle liberté nous reste-t-il ? Comment se construire et évoluer, tout en restant dans la continuité de notre histoire ? Et comment s’approprier son identité ?

L’identité par définition

« Ce qui compte, c'est ce qui est inscrit non sur les papiers d'identité d'un homme, mais dans son cœur. » - Henri Troyat

EEME - Identité - Mathieu Metzger

L’identité se fonde sur la reconnaissance d’un individu, selon son existence physique, son espèce biologique, son sexe et son appartenance culturelle ou communautaire. C’est ce que l’on appelle l’état civil.

Mais l’identité ne s’arrête pas à des données administratives. Elle se construit au gré des événements qui parsèment notre existence et qui décident de nos comportements et de notre personnalité.

Ainsi, l’identité est un processus en perpétuelle construction qui se fait en fonction de notre environnement, mais également selon le regard que nous nous portons.

Nous sommes la somme de nos expériences et de nos choix.

La construction de l'identité

« L'identité n'est pas donnée une fois pour toutes, elle se construit et se transforme tout au long de l'existence. » - Amin Maalouf

Notre construction identitaire est un long processus qui s’exprime fortement de la naissance à l’adolescence et se poursuit à l’âge adulte. Il existe différentes phases. D’abord, au sein de la famille et de l’école où nous sont offerts des modèles. C’est là que nous acquérons des valeurs, des principes, des croyances et des peurs. Puis, les événements qui jalonnent notre quotidien forgent notre personnalité au travers des relations professionnelles, personnelles et contextuelles.

Ainsi, notre identité est susceptible d’évoluer sans cesse. Certaines étapes induisent des évolutions plus ou moins fortes. Cela dépend notamment du type d’événements. Les épreuves tragiques comme le deuil, la maladie ou le licenciement ont tendance à apporter des modifications majeures dans notre comportement et dans notre vision des choses. C’est alors que notre identité s’en voit modifiée. A titre d’exemple, à la suite du décès d’un proche, il n’est pas rare de voir de véritables remises en question s’opérer, apportant de réels changements de vie.

Chaque épreuve est une manière de vous amener à être une nouvelle version de vous-même.

L’identité par notre histoire

Notre identité se constitue au fur et à mesure de notre histoire et influence ce que nous devenons. Cela étant, nous ne sommes pas uniquement ce que le passé a fait de nous. Nous conservons une liberté, notamment à nous définir et à nous réinventer. Les événements passés permettent d’expliquer certains de nos mécanismes. Toutefois, nous gardons la capacité d’agir de façon inédite dans le présent.

Utilisez le passé comme un socle qui vous permette d’avancer et non de vous enchaîner.

« Notre comportement n’est pas la conséquence de nos expériences mais celle de nos ambitions ! » - Alex Mero

L’expérience se définit par la somme de nos actions et l’accumulation des événements vécus. Le passé est alors une histoire qui nous fournit des éléments essentiels pour en tirer des leçons. De cet apprentissage, en découlent des prises de décisions et des actions. Et c’est en notre manière d’agir et de réfléchir que nous définissons notre identité.

Il revient alors à chacun d’entre nous de décider si nous conservons une certaine continuité dans notre histoire ou si nous y apportons une évolution. Par exemple, de plus en plus de personnes finissent par changer de cap professionnel afin que leur nouveau métier corresponde davantage à leur personnalité.

Pour votre épanouissement personnel, affirmez-vous.

Ainsi, au cœur de la notion d’identité, nous retrouvons l’unité et le changement, ainsi que le processus intérieur (les élans de notre propre nature) et les influences extérieures (l’environnement familial, social, professionnel…).

De l'identité à la conscience de soi

« Comme des bibliothèques aux multiples rayons que l'on classe, déplace, aménage, lentement nos identités se recomposent. » - Viviane Chocas

Avoir le sentiment d’identité, c’est avoir la conscience de soi, à savoir de son image, de sa représentation, de sa construction… En d’autres termes, le soi se définit par le regard que nous portons sur nous-même. Certes, il a pu être influencé par les autres et par leurs jugements mais c’est surtout la manière dont nous nous considérons qui importe. Cette valeur peut être positive ou négative mais c’est elle qui nous donne l’impulsion de nous défendre, de nous corriger, de nous adapter et même de nous dépasser !

Ainsi, le respect que nous nous accordons, l’estime que nous nous attribuons et les expériences que nous vivons, sont autant de paramètres essentiels au développement de notre identité.

Prendre conscience de son identité, c’est parcourir un chemin vers le mieux-être.

Et vous, comment vous construisez-vous ?

Suggestion de lecture

EEME - Les 4 accords toltèques - Miguel Ruiz

Les quatre accords toltèques - Miguel Ruis

Dans ce livre, Don Miguel révèle la source des croyances limitatrices qui nous privent de joie et créent des souffrances inutiles. Il montre en des termes très simples comment on peut se libérer du conditionnement collectif - le "rêve de la planète", basé sur la peur - afin de retrouver la dimension d'amour inconditionnel qui est à notre origine et constitue le fondement des enseignements toltèques que Castenada fut le premier à faire découvrir au grand public. Don Miguel révèle ici 4 clés simples pour transformer sa vie et ses relations, tirées de la sagesse toltèque. Leur application au quotidien permet de transformer rapidement notre vie en une expérience de liberté, de vrai bonheur et d'amour. | Acheter sur Amazon


Bibliographie EEME
Consulter


Marie-Joséphine Mazza

Praticienne certifiée Hypnose & EMDR

Consultation sur rendez-vous au 06 59 70 60 47

18 rue Pierre de Coubertin - 33700 Mérignac

Etre Et Mieux-Etre - eeme.fr


EEME - Confiance - Mathieu Metzger

La confiance

EEME - Confiance - Mathieu Metzger

La confiance est fondamentale mais aussi dangereuse. Fondamentale, car sans elle, il serait bien difficile d’envisager les relations humaines ou de bâtir des projets. Dangereuse, car les Hommes ne sont pas tous dignes de confiance, impliquant qu’il nous est possible d’être victimes de trahison. Alors, pourquoi accordons-nous notre confiance ? Comment ne pas basculer dans la crédulité ? Et en quoi la confiance en soi est-elle essentielle pour pouvoir se fier à autrui ?

Définition

« La confiance prend racine dans l'honnêteté, la sincérité et la franchise. » - Mazouz Hacène

La confiance, dans sa définition renvoie à l’idée que l’on peut se fier à quelqu’un. Cela implique que nous nous abandonnons à sa bienveillance et à sa bonne foi. Ainsi, cette notion renvoie à celles de fidélité, de confidence, de crédit et de croyance.

Dans une conception plus pragmatique, la confiance est perçue comme un mécanisme de réduction des risques. En d’autres termes, cela revient à calculer les probabilités ou à prendre toutes les précautions nécessaires afin que la situation se déroule comme prévu. Ce sont les politiques qui utilisent souvent l’expression « Je suis confiant… ».

Enfin, dans une approche plus individuelle, la confiance est celle que l’on s’accorde. Il est question ici d’un ensemble d’émotions, de ressentis et d’attitudes que l’on adopte au quotidien, et qui a une réelle incidence dans nos rapports avec les autres.

La confiance, une histoire de coopération

Dans un monde idéal, nous aspirons à vivre dans un environnement où confiance et bonne foi sont monnaies courantes. Cela permet d’avoir des points de repère et d’établir des relations de bonne entente avec les autres. Alors, pour s’assurer de la bonne conduite de ceux qui nous entourent, la société a déterminé et institutionnalisé des règles. Ainsi, être loyal et honorer ses promesses invitent à faire confiance.

Lorsque vous n’honorez pas vos promesses, vous manquez à votre parole. Vous donnez alors l’image d’une personne qui n’est pas digne de confiance.

« Ne mentez jamais à quelqu'un en qui vous voulez avoir confiance. A partir du moment où vous lui aurez menti une fois, vous aurez bien du mal à le croire. » - Rivarol

La confiance réciproque est essentielle au maintien des bonnes relations. Car donner sa confiance, c’est présager que l’autre fera ce qu’on attend de lui, tout en l'incitant à s’en montrer digne. Mais créer ce lien, c’est aussi donner la possibilité d’être trompé, déçu et blessé.

La confiance, une histoire de pari

« La confiance pousse aussi lentement qu'un cocotier, mais tombe aussi vite qu'une noix de coco. » - Montek S. Ahluwalia

La confiance est la base de toute relation durable mais elle n’exclut pas la trahison. En effet, se fier à quelqu'un ne signifie pas s’abandonner totalement à sa volonté, ni pouvoir attendre à tout moment son aide et son soutien. La confiance est une construction qui naît du lien que l’on fait et parfois que l’on défait. C’est donc admettre la possibilité du changement, du revirement et parfois même de la trahison.

Personne n’est à l’abri de la déloyauté. Votre confiance est précieuse. Ne l’accordez pas aveuglément.

« C'est de la confiance que naît la trahison. » - Proverbe Arabe

La confiance est la base des contrats, de la paix entre nations, de la fidélité dans un couple ou le ciment d’une amitié. Lorsque nous nous fions à quelqu’un, nous indiquons croire en lui, sans pouvoir en expliquer les raisons exactes. En effet, la confiance s'établit sur une croyance aveugle, sans que cela soit de la naïveté. On accorde sa confiance comme un pari, une marque de reconnaissance. Nous attendons que l'autre la mérite et surtout la respecte ! Lorsque celle-ci n’est pas honorée, surviennent alors des conflits qui engendrent bien souvent des amitiés gâchées ou des amours perdues.

Accorder sa confiance, c'est avoir foi en l’humanité et en l’avenir.

La confiance est donc un don que l’on fait de manière réfléchie. Il ne s’agit pas de croire qu’elle doive être aveugle et absolue ou que les autres doivent toujours s'en montrer dignes et rester fiables. En effet, il nous arrive parfois de l'accorder à une personne sur laquelle nous ne pouvons pas forcément compter. Par exemple, un ami qui nous a fait faux bond. Il n’a donc pas répondu correctement à nos attentes. Et pourtant, nous nous fions à lui car nous pouvons compter sur sa discrétion, son jugement ou son amitié. En conséquence de quoi, un manque de fiabilité peut décevoir. Alors que la trahison blesse et peut amener à des conséquences irréversibles.

« Ne donnez pas votre confiance, prêtez-la. » - François Proust

La confiance ne peut être donnée que librement. Même si elle peut être parfois abusée, elle ne saurait jamais être extorquée. D'ailleurs, elle ne va pas sans condition. Mieux, elle se mérite! Pour cela, nous avons besoin de certains gages comme les actes antérieurs qui laissent présager que les futurs pourraient être de la même étoffe. Ainsi, nous avons tendance à l’accorder aux personnes qui nous sont bien connues car leur fréquentation nous a démontré qu’elles pouvaient en être dignes.

Il faut beaucoup de temps pour établir un lien de confiance entre deux personnes mais une seule seconde peut suffire pour la briser. Quant à la retrouver quand celle-ci est perdue, il faut parfois bien des années. Il arrive d'ailleurs que le pardon n’arrive jamais.

La confiance ne peut être ni décrétée, ni exigée.

La confiance, une histoire d’assurance

« Aie confiance en toi-même, et tu sauras vivre. » - Goethe

Pour inspirer confiance, il faut d’abord avoir suffisamment confiance en soi. Il s’agit là d’un savant équilibre entre estime de soi et assurance, sans pour autant tomber dans l’arrogance. Il s'agit avant tout de se connaître, de s’accepter, de croire en son potentiel et en ses capacités.

Lorsque nous sommes trahis ou victimes de déloyauté, cela renvoie au fait que nos besoins et nos droits aient été ignorés, voire bafoués. C’est non seulement notre confiance en l’autre qui est endommagée mais également la nôtre. Il est alors essentiel de se réinvestir dans des activités et surtout dans des liens dont nous retirons sécurité et plaisir. Le soutien des personnes aimantes est alors primordial pour atténuer le choc et soulager la blessure.

Afin de restaurer la confiance en l’autre, il est essentiel de commencer par reconstituer sa propre estime. Car bâtir un nouveau projet commun demande d’accepter le risque d’être potentiellement blessé à nouveau.

Rien n’est possible sans confiance en soi, en l’autre, en la vie.

Et vous, êtes-vous digne de confiance ?

Suggestion de lecture

EEME - Les dieux voyagent toujours incognito - Laurent Gounelle

Les dieux voyagent toujours incognito - Laurent Gounelle

Imaginez : vous êtes au bord du précipice. À l'instant fatidique, un homme vous sauve la vie. En échange : votre engagement à faire tout ce qu'il vous demandera. Vous acceptez et vous voilà embarqué dans un incroyable voyage où tout semble vous échapper.

Plus qu'un roman, une réflexion sur soi-même qui nous invite à prendre notre destin en main. | Acheter sur Amazon


Bibliographie EEME
Consulter


Marie-Joséphine Mazza

Praticienne certifiée Hypnose & EMDR

Consultation sur rendez-vous au 06 59 70 60 47

18 rue Pierre de Coubertin - 33700 Mérignac

Etre Et Mieux-Etre - eeme.fr


EEME - Liberté - Mathieu Metzger

La liberté

La liberté est un Graal que nombreux recherchent quand d’autres le revendiquent. C’est également un moteur puissant qui pousse les hommes à se battre pour la conquérir ou la défendre. Etre libre revêt de nombreuses significations. Alors, quelle est la définition de la liberté ? Que veut dire être libre ? Et en définitive, pensez-vous l’être ?

La liberté par définition

« Etre libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres. » - Nelson Mandela

EEME - Liberté Mathieu Metzger

La liberté est un concept clé de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen. Elle a été célébrée de tout temps, autant dans les arts que dans les lettres. Pour certains, elle rime avec irrévérence et désinvolture. Mais elle s’illustre surtout par le fait de ne pas subir de contraintes, de soumissions ou de servitudes. La liberté est l’opposé de la prison et de la dépendance.

La liberté, c’est avoir un organisme en bonne santé afin que le corps ne s’apparente pas à une prison. C’est aussi la spontanéité et la possibilité de réaliser ses propres désirs. C’est également avoir le droit de choisir, et pour qu’il y ait choix, il faut plusieurs possibilités d’actions. Enfin, la liberté, c’est détenir son libre-arbitre permettant d’affirmer ou de nier.

La liberté, c’est pouvoir penser, s’exprimer, décider et se sentir libre de toute chaîne.

La liberté en tant qu’attitude

« Je vous ai dit que la liberté de l’homme consiste dans son pouvoir d’agir, non pas dans le pouvoir chimérique de vouloir vouloir. » - Voltaire

La liberté n’est pas dans ce que nous faisons, mais plutôt dans la manière dont nous le faisons. La liberté est une attitude où l’homme réalise son destin au lieu de le subir.

Ainsi, la liberté s’apparente à une forme d’indépendance. Celle où nous ne sommes pas obligés de nous conformer aux règles culturelles et sociales établies. C’est par exemple pouvoir choisir avec qui partager sa vie.

La liberté peut également être reliée à l’autonomie où il est question de faire des choix assumés dans le but de satisfaire nos besoins profonds. Cela peut être de décider de quitter son travail pour se reconvertir dans un métier plus épanouissant.

Etre libre, c’est gagner son indépendance et son autonomie.

« Le plus libre de tous les hommes est celui qui peut être libre dans l'esclavage même. » - Fénelon

Notre besoin de liberté peut être une source de frustration et de souffrance quand il n’est pas assouvi. En effet, il nous est difficile de nous sentir libres lorsque nous sommes confrontés par exemple aux difficultés financières. Nous réalisons que nous ne pouvons pas faire ce que nous voulons, pire, que nous devons parfois faire ce qui nous déplaît ! Certes il ne dépend pas de nous d’être un esclave ou un maître, de vivre ou de mourir, mais ce qui dépend de nous, c’est l’usage de nos représentations. Quelles que soient les circonstances, l’homme a la faculté intérieure de penser, d’échafauder des projets quelles que soient ses conditions d’existence. Etre libre est alors partir à la recherche de sa vérité.

Etre libre c’est emprunter un chemin qui n’est pas toujours facile mais dont seule compte la destination.

La liberté intérieure

« La liberté ne se conquiert jamais au détriment de celle des autres. Etre libre, c'est dominer. Dans le dernier cas, la liberté n'est acquise qu'au détriment de soi. » - Pierre Reverdy

Indépendamment des situations et des circonstances extérieures, il existe un autre type de liberté : la liberté intérieure. Lorsque nous atteignons cet état, nous nous sentons libres où que nous soyons car nous éprouvons un sentiment de paix et de bonheur.

Pour ce faire, il est important de dissocier les situations qui dépendent de nous de celles sur lesquelles nous n’avons aucun impact. Il revient alors de nous attarder sur celles sur lesquelles nous avons un poids, une incidence. Au sein d’une situation difficile, il est nécessaire d’accéder à la sagesse, véritable indépendance qui nous permet d’édifier un refuge intérieur. C’est à cet endroit qu'il nous est possible d’accéder à tout moment à la paix et ainsi de retrouver notre liberté.

Être libre, c’est vivre sans entrave émotionnelle ni mentale.

« La liberté d’aimer est le même droit que la liberté de penser ; l’une répond au cœur, l’autre à l’esprit : ce sont deux faces de la liberté de conscience. » - Victor Hugo

Etre libre c’est également comprendre. Car ni le temps, ni les autres n’ont de prise sur nos connaissances et notre compréhension. Tout notre savoir nous permet de penser, juger et prendre de bonnes décisions. Dans notre société occidentale, nous oublions parfois la chance que nous avons d’avoir accès à l’instruction car savoir lire et écrire, c’est accéder à la liberté.

La connaissance amène l’indépendance intérieure et extérieure et par conséquent la liberté.

De plus, la liberté apporte une sensation de légèreté et de plénitude lorsque nous accordons de l’attention à qui nous sommes. Il est essentiel de laisser libre cours à nos besoins, nos valeurs, nos aspirations et nos émotions. Etre libre c’est se surprendre et sortir de sa zone de confort.

Enfin, être libre commence par le fait d'être soi-même et de se respecter. Ainsi, la liberté c’est croire en soi et en ses rêves. Elle n’est alors qu’illusoire si elle ne s’applique qu’en catimini. Vous pouvez franchir toutes les frontières du monde, si votre esprit est enchaîné à des pensées oppressantes et toxiques ou à des croyances limitantes, vous ne serez pas entièrement libre. Etre libre, c’est se permettre d’être tout simplement.

La liberté, c’est s’affranchir de toutes ses chaines et de tous ses maux, qu’ils soient visibles ou invisibles.

Et vous, êtes-vous libre ?

Suggestion de lecture


Bibliographie EEME
Consulter


Marie-Joséphine Mazza

Praticienne certifiée Hypnose & EMDR

Consultation sur rendez-vous au 06 59 70 60 47

18 rue Pierre de Coubertin - 33700 Mérignac

Etre Et Mieux-Etre - eeme.fr


EEME - Vérité - Mathieu Metzger

La vérité

EEME - Vérité - Mathieu MetzgerLa vérité est de l’ordre de la science, de la morale et de la philosophie. Pour ces disciplines, la vérité est une notion considérée comme absolue. En ce sens, elle a trois contraires : l’erreur, le mensonge et l’illusion. Or, l’expression « Chacun sa vérité » indiquerait qu’il n’y aurait pas une, mais plusieurs vérités. Se pose alors la question du caractère de la vérité : est-elle une, indivisible et absolue, ou bien relative ? A quoi donnons-nous la qualité d’être vrai ? D’ailleurs, la vérité a-t-elle un sens ? Et pour quelle raison sommes-nous en quête de vérité, de notre vérité ?

La vérité en tant que réalité

« Ce que l'homme appelle vérité, c'est toujours sa vérité, c'est-à-dire l'aspect sous lequel les choses lui apparaissent. » - Protagoras

La vérité réside dans ce que nous disons à propos de la réalité. C’est le fait que les choses existent, qui nous permet de dire des choses vraies à leur propos, en les décrivant notamment comme elles sont. La vérité est alors synonyme de constat. Par exemple, vous pourriez dire qu’il y a un arbre dans votre jardin. Si c’est en effet le cas, il s’agit alors d’une constatation et donc, d’une vérité.

Cependant, il est plus délicat de saisir la véracité de nos émotions, de nos passions, de nos pensées ou de nos volontés car elles sont teintées de subjectivité. Ce qui veut dire que leurs caractères peuvent être provisoires car des facteurs comme notre environnement, notre humeur ou notre âge peuvent les modifier. S’agit-il alors de réalité ou de perception ?

Dans le cas où le vrai est une traduction de la réalité, c’est la science qui semble la mieux placée pour énoncer toutes les vérités possibles car celles-ci sont fondées sur des observations objectives, vérifiables et des raisonnements rigoureux. En ce sens, la vérité est liée à la notion de connaissance.

Avant de prétendre détenir une vérité, assurez-vous que celle-ci soit objective et non discutable avant de l’énoncer.

La vérité individuelle

« Qu'est-ce que la vérité ? Il y a la tienne, la mienne et celle de tous les autres. Toute vérité n'est que la vérité de celui qui l'a dite. Il y a autant de vérités que d'individus. » - Eric-Emmanuel Schmitt

Il existe des jugements que nous apparentons à des vérités : les opinions, les certitudes, les croyances, la foi… Les avis que nous avons sur les choses ou les situations ne se forgent pas de la même manière et peuvent être justifiés par des motifs extrêmement variés, parfois un peu vagues ou même en dépit de toute logique : les traditions, les habitudes, les on-dit… Qui n’a jamais entendu l’argument « Ça ne se fait pas ! » pour étouffer toute contestation ?

L'opinion est alors une sorte de jugements subjectifs qui s'accommodent de préjugés ou d’ignorance, mais qu’il nous arrive d’utiliser ou de revendiquer comme nôtres.

Décortiquez vos pensées, cela vous permettra d’avoir des raisonnements plus réfléchis et mieux argumentés.

« L'homme ne progresse pas de l'erreur vers la vérité, mais de vérités en vérités, d'une vérité moindre à une vérité plus grande. » - Swami Vivekananda

Nos opinions sont variables et inconstantes car nos points de vue sont l’expression de nos intérêts, de nos passions, le résultat de notre histoire. Ce qui apparaît vrai à l’un, compte tenu de sa constitution, de son intelligence, de sa sensibilité, ne l’est pas forcément pour l’autre. Et ce qui nous semble vrai aujourd’hui ne le sera peut-être plus demain.

Nous avons la liberté d’interpréter, de déchiffrer et de comprendre le monde à notre manière. Ainsi, l’expérience très individuelle que chacun de nous fait de son existence porte à croire que nous détenons notre conception du monde. C’est le sens que nous donnons à notre vie qui nous porte à concevoir nos vérités.

Malgré le caractère personnel de nos vérités, des intérêts communs, des expériences ou des héritages partagés peuvent nous conduire à soutenir collectivement une même vision du monde.

Respecter l’opinion de son interlocuteur, c’est respecter son histoire.

La vérité collective

« Ce qu’il faudrait, c’est toujours concéder à son prochain qu’il a une parcelle de vérité et non pas de dire que toute la vérité est à moi, à mon pays, à ma race, à ma religion. » - Amadou Hampâté Bâ

Chacun a la liberté de penser et de voir les choses à sa manière. Il est alors normal que tous ne puissent s’entendre, tant les opinions peuvent être divergentes. Cela étant, si nous partons du principe que chaque individu vit dans son univers et que sa vérité est différente de l’autre, il nous serait bien difficile d’envisager que les hommes puissent partager des vérités communes.

La pensée est un fait de culture et nous sommes les héritiers intellectuels de notre époque. Par conséquent, les idées sont toujours communes.

C’est cela la magie de la vérité : parfois elle divise, parfois elle rassemble.

La vérité en tant que morale

« Une vérité entière est souvent l’alliée de la vertu ; une demi-vérité est toujours l’alliée du vice. » - Gilbert Keith Chesterton

Dans le sens où la vérité est de l’ordre de la morale, des principes moraux désignent la sincérité et la confiance comme ses vertus, et le mensonge comme son contraire. Or, lorsqu’il est question de notion de valeurs et de comportements, il est difficile de théoriser. Nous serions tentés de déduire par exemple que « voler est mal » et que l’acte en question devrait être condamné. Cependant, nous pourrions également admettre que voler puisse être une nécessité.

Alors que les vérités scientifiques sont toujours vraies, les propositions morales sont rarement véridiques en toutes circonstances.

Faire le bien, c’est agir en toute liberté en respectant l’autre.

La vérité en tant que quête

« La vérité. Qui peut se vanter de dire la vérité ? Pour la dire, il faudrait la détenir. » - Micheline La France

Aspirer à la vérité, c’est avoir ses propres idées, c’est s’enivrer de connaissances pour s’affranchir de l’ignorance. Chercher sa vérité, c’est savoir qui l’on est, c’est comprendre son mode de fonctionnement, c’est être à l’écoute de ses émotions.  Trouver sa vérité, c’est rencontrer son être profond et ce qui l’anime. Découvrir sa vérité intérieure, c’est être en connexion avec son ressenti, c’est exprimer ses sentiments.

Accueillir sa vérité, c’est accéder à sa liberté.

Et vous, quelles sont vos vérités ?

Suggestion de lecture


Bibliographie EEME
Consulter


Marie-Joséphine Mazza

Praticienne certifiée Hypnose & EMDR

Consultation sur rendez-vous au 06 59 70 60 47

18 rue Pierre de Coubertin - 33700 Mérignac

Etre Et Mieux-Etre - eeme.fr


EEME - Simplicité - Xabi_c

La simplicité

La simplicité est une notion essentielle dans de nombreuses pratiques zen. Elle est d’ailleurs élevée au rang d’art de vivre dans certains pays orientaux. La simplicité y est perçue comme un moyen d’accéder au bien-être et par extension au bonheur. Or, dans un monde où tout semble si compliqué, comment amener notre vie à être plus simple ? La simplicité est-elle synonyme de dénuement ?

La simplicité par définition

« L'apparence requiert art et finesse ; la vérité, calme et simplicité. » - Emmanuel Kant

La simplicité est par définition simple, notamment dans l’explication et la compréhension des choses. Concernant les individus, la simplicité revient à être libre de toute confusion et d’efforts, et s’incarne dans des valeurs fortes transparaissant dans l’attitude et le style de vie.

Pour ce qui est de la simplicité dans son concept, cela renvoie à la théorie que le plus simple s’avère être le plus souvent vrai. Et pourtant, cela ne semble pas synonyme de facilité.

La simplicité par la difficulté

« La simplicité est en définitive très difficile à atteindre. Elle repose sur l’attention, la pensée, le savoir et la patience. » - John Pawson

Le monde dans lequel nous vivons semble, à bien des égards, compliqué. Et pour cause, nous évoluons dans une société où le système de valeurs est centré principalement sur l’argent, les apparences et les biens accumulés. Se définit alors une idée toute relative de la réussite. Et pour y accéder, nous devons travailler encore et encore et ce, durement au point de se perdre. D’illusions en désillusions, tout paraît compliqué car nous courons frénétiquement vers un bonheur qui nous échappe.

Faites la liste des choses qui vous rendent heureux. Puis faites la liste de ce que vous faites chaque jour. Comparez les deux et tirez-en vos conclusions.

« Une fois résolu, un problème est d'une simplicité atterrante. » - Paulo Coelho

Il s’avère que la vie n’est pas, dans ses fondements, compliquée. Aussi, lorsque nous perdons de vue la simplicité de notre existence, que nous nous sentons égarés dans ce quotidien auquel nous ne trouvons pas de sens, il est important de se recentrer sur nos besoins fondamentaux. Tout se simplifie dès lors que nous abordons les questions essentielles de notre vie et c’est ainsi que nous accédons plus facilement au bien-être.

Afin d’engager un travail d’introspection, éloignez-vous de la télévision et des médias en général.

La simplicité par l’essentiel

« La simplicité décourage. Elle ne s'acquiert qu'à force de détachement. » - Dominique Blondeau

Pour s’extirper de la complexité, il est nécessaire de se retrouver seul avec soi-même. Nous avons tellement l’habitude de fuir la solitude que méditer n’est pas chose évidente au premier abord. Puis, viennent les véritables remises en question où se dessinent l’important et le futile pour chacun d’entre nous.

Pour revenir à la simplicité, libérez-vous des attachements qui régissent votre quotidien.

« L'extraordinaire nous attire un instant, la simplicité nous retient plus longtemps, parce que c'est en elle seule que réside l'essentiel. » - Garry Winogrand

Une vie simple ne veut pas dire être simple d’esprit. Bien au contraire, se libérer des pensées complexes, et superflues, laisse plus d’espace à un esprit vif et alerte. Car la simplicité fait appel à ce qui est naturel : l’intuition, le ressenti, laissant libre court aux pensées profondes et aux sentiments positifs.

Simplifiez votre vie, élevez vos pensées et votre vie sera plus avisée.

« Un homme est riche des choses dont il peut se passer. » - Henry David Thoreau

Vivre dans la simplicité c’est apprécier le contact avec la nature et revenir à l'authenticité. Cela ne signifie pas renoncer au confort mais détenir ce qui est essentiel. La simplicité, c’est accéder au minimalisme au détriment du matérialisme, c’est de trier, et se débarrasser de ce qui est inutile pour  avoir l'esprit tranquille et atteindre ainsi ses richesses intérieures.

Désencombrer votre espace pour libérer votre esprit.

« La simplicité est le secret de la réussite. » - André Rochette

Dans la vie professionnelle comme dans la vie personnelle, pour accéder à la simplicité, il est essentiel de choisir avec soin ses priorités en mettant de côté ou en supprimant les tâches qui ne sont pas primordiales.

La simplicité est gage d’économie et est la source du développement durable car elle nous invite à repositionner nos valeurs afin de limiter le gaspillage.

Gardez à l’esprit que l’essentiel est toujours simple.

La simplicité comme un art de vivre

« Il y a quelque chose de plus haut que l'orgueil, et de plus noble que la vanité, c'est la modestie, et quelque chose de plus rare que la modestie, c'est la simplicité. » - Rivarol

Etre dans la simplicité, c’est être généreux : donner de soi, de son temps dans un esprit bienveillant. Etre simple, c’est également adapter son langage pour se faire comprendre et transmettre ainsi les bons messages. Etre dans la simplicité, c’est tirer profit de chaque instant en tant qu’expérience et apprentissage.

« La simplicité est la forme de la vraie grandeur. » - Francesco de Sanctis

La simplicité, c’est également considérer que tout métier, toute tâche a son utilité, sa valeur et sa dignité. Ce qui ramène à apprécier chaque élément de la vie à sa juste valeur, notamment les plus anodins.

Pour être dans la simplicité, mettez votre ego à l’écart.

« Le bonheur, tu sauras que c'est la simplicité ! » - Jacques Brillant

En observant la nature, nous pouvons constater que tout y est simple et harmonieux. Chaque entité y a sa place et le tout se régule par lui-même, créant un véritable équilibre qui ne dépend pas de la main de l’homme.

L’art de la simplicité est d’apprendre à vivre dans l’harmonie et l'équilibre. Simplifier sa vie, c’est s’enrichir en nourrissant son esprit avec ce qu’il y a de mieux pour soi dans une quête de plénitude. La simplicité est aussi l’art de prendre soin de soi et de son corps. La simplicité, c’est aussi se respecter.

L’art de la simplicité, c’est le respect de soi et de ce qui nous entoure.

Et vous, vivez-vous dans la simplicité ?

Suggestion de lecture


Bibliographie EEME
Consulter


Marie-Joséphine Mazza

Praticienne certifiée Hypnose & EMDR

Consultation sur rendez-vous au 06 59 70 60 47

18 rue Pierre de Coubertin - 33700 Mérignac

Etre Et Mieux-Etre - eeme.fr


EEME - Authenticité - Mathieu Metzger

L’authenticité

Depuis quelques années, nous assistons à une quête de la vérité, à un retour au vrai, à une recherche d’authenticité. Mais qu’est-ce que l’authenticité ? Est-il possible d’être parfaitement authentiques avec les autres ? Et surtout, le sommes-nous avec nous-mêmes ?

Définition

L'authenticité est synonyme de ce qui est pur. Elle établit la confiance et crée la sécurité. Véritable vertu, l’authenticité est faite de vérité, d’engagement et d’autorité. Car, être authentique, c’est être vrai, c’est être sincère, c’est exprimer sa personnalité, c’est aligner son existence à ce qui nous semble important, à ce qui est essentiel. Etre authentique, c’est choisir son bonheur sans prêter attention au jugement des autres. Etre authentique, c’est se respecter, sans attendre que les autres le fassent.

EEME - Authenticité - Mathieu Metzger

Rapport aux autres

L’authenticité semble, dans l’esprit du plus grand nombre, être la valeur par excellence des rapports humains. C’est d’ailleurs un dessein visé par beaucoup aujourd’hui. Et pourtant, il s’avère bien difficile de s’y atteler. Et pour cause ! La société tend au conformisme où nous sommes poussés à entrer dans un moule, à se plier à certaines règles où l’on peut entendre des arguments étonnants : « Parce que c’est comme ça » ou mieux, « Parce qu’on a toujours fait comme ça. »

« A tout moment, vous êtes libre de changer d’idée et de choisir un futur différent. » - Richard Bach

Tout au long de notre vie, nous jouons plusieurs rôles parce que nous avons été éduqués, instruits et même formatés ainsi. Vivre, c’est être en relation avec les autres et se conformer à leurs attentes, à leurs exigences. Qui n’a jamais entendu dire étant enfant : « Sois une gentille fille/un gentil garçon… » ? Sous-entendant que si l’on ne faisait pas ce qui nous était demandé, nous étions donc méchants et avions le risque d’être rejetés, pire, de ne pas être aimés ! »

L’authenticité, c’est être la même personne quelles que soient les situations.

C’est la raison pour laquelle nous acceptons certaines choses qui ne sont pas en accord avec nous-mêmes. Nous nous autocensurons en étouffant nos désirs. Ainsi, pour être acceptés, respectés, appréciés voire aimés, nous devons ressembler aux autres et donc faire ce que l’on attend de nous. Il s’agit ici d’une pression sociale qui peut devenir compliquée voire oppressante.

Lorsque nous décidons d’emprunter d’autres voies, de dévier des comportements socialement acceptables, nous nous mettons en marge de la société. Ses diktats finissent par nous imposer une vie qui n’est pas la nôtre et nous finissons par faire des choses par devoir et non par envie.

L’authenticité, c’est dire ce que l’on pense vraiment et non énoncer ce que les autres veulent entendre.

Rapport à soi

« Aie moins peur, espère plus ; mange moins, mâche davantage ; pleurniche moins, respire plus ; bavarde moins, parle plus ; déteste moins, aime plus et toute les bonnes choses seront les tiennes. » - Proverbe suédois

Nous nous savons vulnérables. Pour nous protéger, nous nous cachons derrière l’argent, les possessions, le statut social, le pouvoir, les relations… Ce sont des masques que nous portons et que nous entretenons. Cela nous occupe, nous distrait puis nous submerge au point d’en oublier l’essentiel. Il est primordial d’identifier ces rôles que nous endossons pour pouvoir les distancer et retrouver qui nous sommes vraiment.

L’authenticité, c’est découvrir son être véritable.

« Devenir plus authentique, c’est avoir plus de questions que de réponses. » - Thierry Feller

Au cours d’une vie, on perd des choses, des relations, des proches. Il nous est alors rappelé que rien n’est éternel et qu’il est essentiel de profiter de chaque instant et d’apprécier ce qui est réellement important. Chaque perte est souvent vécue comme un sentiment d’injustice et c’est face à cette douleur que nous nous posons des questions existentielles. Ces interrogations ont pour but de nous ramener à notre essence, à nos aspirations, au sens même de notre destinée. Qui suis-je ? Quel est le sens de ma vie ou quel sens lui donner ? Et qu’est-ce qui lui donne du sens : l’argent, le travail, l’amour… ?

L’authenticité, c’est accéder à la vie, la vraie.

Arrive ce moment où nous voulons faire coïncider notre existence avec nos envies profondes. L’authentique nous attire de manière impérieuse pour devenir un besoin. C’est alors que nous souhaitons retrouver la simplicité pour être plus vrais.

Pour entrevoir son authenticité, il faut se désencombrer, se dépouiller pour ne laisser la place qu’à l’essentiel. Cela veut dire délaisser la quantité pour la qualité et quitter le paraître pour revenir à l’être.

L’authenticité, c’est la liberté d’être, d’agir ou de penser de manière différente. L’authenticité, c’est pourvoir ne pas être conformes et ne pas satisfaire tout le monde.

Etre authentique, c’est se réaliser.

Et vous, êtes-vous authentique ?

Suggestion de lecture

EEME - Cessez d'être gentil soyez vrai - Thomas d'Ansembourg

Cessez d'être gentil, soyez vrai - Thomas d'Ansembourg 

Nous sommes souvent plus habiles à dire leurs quatre vérités aux autres qu'à leur exprimer simplement la vérité de ce qui se passe en nous. Nous avons davantage appris à être complaisants, à porter un masque, à jouer un rôle. Nous avons pris l'habitude de dissimuler ce qui se passe en nous afin d'acheter la reconnaissance, l'intégration ou un confort apparent plutôt que de nous exprimer tels que nous sommes. Nous avons appris à nous couper de nous-mêmes pour être avec les autres.

Cessez d'être gentil, soyez vrai! Ce livre est une invitation à désamorcer la mécanique de la violence, là où elle s'enclenche toujours: dans la conscience et le cœur de chacun de nous. | Acheter sur Amazon



Bibliographie EEME
Consulter


Marie-Joséphine Mazza

Praticienne certifiée Hypnose & EMDR

Consultation sur rendez-vous au 06 59 70 60 47

18 rue Pierre de Coubertin - 33700 Mérignac

Etre Et Mieux-Etre - eeme.fr


EEME - Essentiel - Mathieu Metzger

L’essentiel

Le rythme effréné de notre quotidien ne nous accorde pas toujours le temps de lever le pied. Travail, famille, amis, engagements… Notre vie est faite de tâches à accomplir. Et pour cause, il y a tant à faire, tant à découvrir que nous avons, pour beaucoup, peur de passer à côté de quelque chose et de rater notre vie.

Alors, il arrive que la maladie, la perte d’un emploi ou le décès d’un proche nous stoppe dans notre course quotidienne. C’est alors que l’essentiel se rappelle à nous. Mais qu’est-ce que l’essentiel ? Et comment y revient-on ?

EEME - Essentiel - Mathieu Metzger

Le Trop

« Vous devez toujours savoir distinguer l'essentiel de la futilité. » - David Ben Gourion

Le monde occidental est caractérisé par l’excès. Notre existence se définit par le « trop » : trop de stress, trop de travail, trop d’activités, trop de soucis, trop de choses inutiles, trop de contraintes… Mais elle est également associée à trop de « pas assez » : pas assez de reconnaissance, pas assez d’attention, pas assez d’amour, pas assez de liberté, pas assez de respect…

Or, l’essentiel est lié à notre « essence », à notre « Etre ». Il s’agit de « se réaliser » et non de « posséder ».

Distinguez l’essentiel du nécessaire car seul l’essentiel est nécessaire.

« A force de sacrifier l'essentiel pour l'urgent, on finit par oublier l'urgence de l'essentiel. » - Edgar Morin

La société contemporaine est caractérisée par la compétition nous encourageant ainsi au toujours « plus » allant jusqu’au perfectionnisme. La pression constante nous pousse à multiplier les achats, le travail, les activités. On finit par se noyer dans le trop-plein pour combler un vide, une angoisse. Nous sommes alors dans une suractivité sans fin. Cela nous amène à un état de surcharge et à une fatigue chronique.

Peu à peu, notre esprit est aussi chargé que notre quotidien et nous finissons par oublier l’essentiel. L’important, le prioritaire, passe alors en second plan et nous finissons par ne plus savoir qui nous sommes.

Désencombrez votre vie pour libérer votre esprit, vous retrouverez ainsi ce qui est important.

Le Stop

« La maladie est un avertissement qui nous est donné pour nous rappeler à l’essentiel. » - Sagesse tibétaine

Nous sommes dans une hyperactivité et une hyper-connexion où « il faut » travailler pour payer les factures, « il faut » rester connecté pour ne pas louper une information. Mais « il faut » également ne pas oublier de manger mieux et « il faut » faire du sport pour être en bonne santé.

A force d’activités, de sollicitations, de responsabilités, nous nous retrouvons surchargés, générant du stress et de la frustration car on ne fait jamais assez, ni jamais assez bien. Tout perd de sa saveur et il nous est alors difficile d’apprécier la douceur de vivre car les loisirs eux-mêmes deviennent des contraintes et le quotidien se transforme en une course effrénée sans but défini.

C’est alors que le corps nous indique qu’il y a un trop-plein. Cela peut se traduire par un mal de dos, des douleurs cervicales, des troubles du sommeil, des angoisses, des problèmes de peau ou de digestion… Sans y prendre garde, ces malaises s’installent et laissent place à la maladie.

Le corps somatise : écoutez ses messages d’alerte et levez le pied !

Le Moins

« Moins de désirs égal plus de santé. » – Proverbe espagnol

Tout d’abord, il est important de distinguer de quoi est fait ce trop-plein qui nous coûte autant, que ce soit, en termes de finances, de temps ou de santé. Ensuite, il convient d’alléger sa vie par petites touches sous formes d’abstinence, en apprenant à renoncer à certaines choses pas si nécessaires.

Il s’agit ici de débrancher, de déconnecter, de décrocher. Ainsi, par moments, nous pourrions éteindre la télévision, ne pas consulter les réseaux sociaux ni regarder les informations. Nous pourrions également décliner une invitation lorsque l’envie nous manque ou que notre corps réclame du repos.

Espacez ou éliminez les choses et les activités superflues pour redonner du sens à celles qui vous importent.

La Pause

« Le cœur a besoin d’un répit pour devenir capable de battre la chamade ; de l’immobilité au galop effréné, il faut des pauses pour retrouver sa respiration et laisser ainsi son cœur prendre de la vitesse. » - Natasha Illum Berg

Quel paradoxe de constater que notre société nous laisse de plus en plus de temps libre mais dont un grand nombre ignore le besoin fondamental d’en faire bon usage. En réalité, nous n’avons pas pris l’habitude de nous accorder des temps de coupure dans notre quotidien, et pourtant, il est si agréable de s’adonner à des moments de déconnexion.

Accordez-vous des temps de pause, ils vous permettent de digérer ce qui a été vécu avant d’aller vers le nouveau.

« Dans le silence et la solitude, on n’entend plus que l’essentiel. » - Camille Belguise

La pause se définit par un retour au calme où il est question de se sentir bien dans sa tête et dans son corps. Le calme qui se nourrit de modération, de douceur et de concentration ne se gaspille pas. Cela signifie privilégier la qualité au détriment de la quantité, résister à la frénésie du quotidien et se consacrer pleinement à une tâche ou à une personne à la fois.

Ces moments de pause servent également à faire taire les pensées qui tournent en rond et à se concentrer sur son corps, à l’habiter consciemment, grâce notamment à la respiration, la relaxation, la méditation…

Pratiquez régulièrement une activité qui vous procure du bien-être. Cela permet d’installer dans votre vie calme et contentement.

Le Sens

« Au-delà du désir de rester en vie, au-delà de la recherche des plaisirs, l’homme est animé par une force tout aussi puissante qui le pousse à s’accomplir, à donner du sens à son existence et à rencontrer plus pleinement la vie. Car vivre ne lui suffit pas, il veut avoir le sentiment de bien vivre. » - Reza Moghaddassi

Une des dimensions de la quête existentielle contemporaine serait de trouver son souhait le plus cher afin de le nourrir et de le satisfaire. Cette soif d’essentiel est appelée à être à l’écoute de nos rêves, de nos projets mais également de nos aspirations, de nos valeurs. Il convient alors de s’attarder sur nos désirs profonds et non ceux immédiats qui prennent souvent beaucoup de place.

Pour ce faire, il est bon de s’interroger sur ce qui nous inspire, nous fait vibrer, nous ennuie, nous fait fuir... Tout comme regarder comment réagit notre corps face à une situation ou à une personne : ventre noué, gorge serrée, transpiration excessive, palpitation ou au contraire, sentiment de bien-être, de confiance, de sérénité. Cela permet de procéder à des ajustements pour être en accord avec nos valeurs et nos désirs, pour se sentir à notre juste place et par conséquent, de donner plus de sens à notre vie.

Cherchez chaque jour des rencontres et des activités qui vous nourrissent, vous stimulent et qui ont du sens.

Nous assistons aujourd’hui à une quête de sens plus globale où nombre d’entre nous remettent en question la surconsommation, s’alarment du gaspillage des ressources de la planète, optent pour une reconversion professionnelle, plaquent tout pour reconstruire ailleurs… Cette soif d’essentiel a pour ambition d’amener à une certaine simplicité et d’accéder au bonheur, voire de le revendiquer.

Découvrez ce qui est essentiel à votre vie, loin du trop et du pas assez, du superflu et de la surcharge.

Et pour vous, qu’est-ce qui est essentiel ?

Suggestion de lecture

EEME - Le jour où j'ai appris à vivre - Laurent Gounelle

Le jour où j'ai appris à vivre - Laurent Gounelle

Imaginez : vous vous baladez sur les quais de San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, mais son regard se fige, elle devient livide. Ce qu'elle va finalement vous dire, vous auriez préféré ne pas l'entendre. À partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle.


Bibliographie
Consulter


Marie-Joséphine Mazza

Praticienne certifiée Hypnose & EMDR

Consultation sur rendez-vous au 06 59 70 60 47

18 rue Pierre de Coubertin - 33700 Mérignac

Etre Et Mieux-Etre - eeme.fr


EEME - Etre - Xabi_c

Etre

Etre, c’est savoir qui l’on est. Etre, c’est exister.
EEME - Etre - Xabi

« Savoir ce qu'on est, est une chose aussi précieuse que savoir ce qu'on n'est pas. » - Henri-Frédéric Amiel

Lors de la première consultation, il m’arrive régulièrement de poser la question suivante : « Qui êtes-vous ? ». Par automatisme, certains déclinent leur identité : nom, prénom et parfois même leur date de naissance. Alors, j’insiste en demandant « Qui êtes-vous vraiment ? ». Simple question qui laisse souvent la personne démunie.

Surgissent alors des réponses telles que « Je suis maman de 2 enfants », « Je suis cadre dans telle société »… Mais la question n’était pas « Que faites-vous dans la vie ? ». Doit-on comprendre que l’on est quelqu’un, qu’en fonction de la position que l’on occupe en société ?

« Etre » serait-il « faire » ?

Je continue ainsi dans mes interrogations : « Que faut-il être pour être heureux ? » Les réponses varient sensiblement mais elles tournent généralement avec « Etre en couple, être parent, être en bonne santé… »

« Etre » serait-il « avoir » ?

Beaucoup pensent inconsciemment et parfois même consciemment, que l’on « est » que si l’on atteint les objectifs socio-culturels tels que se marier, avoir des enfants, avoir un emploi… Ainsi, dans le cas contraire, on se sent rejeté, invisible, raté… On n’est alors personne. Nombreux entrent dans un moule et deviennent ce que l’on veut d’eux pour se faire accepter et se faire aimer. Combien font le métier que leurs parents leur ont destiné ? Combien se comportent comme le veulent leur entourage ? Je vois très souvent des personnes muselées, qui ne rêvent que de s’émanciper, mais n’osent pas, de peur d’être rejetées, d’être désaimées.

« Etre » serait-il « être aimé » ?

« Il faut beaucoup de temps et d'expérience à certaines gens pour comprendre que le seul moyen d'être respecté est d'être soi-même, c'est-à-dire d'avoir le courage de ne pas se travestir. » - Jean Dutourd

En réalité, nous avons en chacun de nous de l’inné et de l’acquis. Nous portons des caractéristiques génétiques que nous ne pouvons pas changer. Nous avons également une histoire familiale et un environnement  qui ont largement contribué à notre éducation, et à fortiori à notre mode de fonctionnement. Et puis, nous avons notre parcours, fait de bonnes et de mauvaises expériences, que ce soit à l’école, dans la vie personnelle et dans la sphère professionnelle.

La vie est un apprentissage. Il y a toujours quelque chose à assimiler, à comprendre des situations que nous rencontrons, notamment les plus douloureuses. Et, comme nous agissons et réagissons grâce à cet inné et à cet acquis, nous sommes alors la somme de nos expériences.

Savoir qui l’on est, nous permet d’anticiper et de mieux appréhender les différentes situations qui se présentent à nous.

« Etre » serait-il « savoir-faire » ?

Et pour s’épanouir, pour accéder au bonheur, il faut savoir ce qui nous anime. Au final, ce que l’on est, est synonyme de ce que l’on veut : c’est se sentir bien, se sentir mieux, se sentir exister, être vivant !

« Etre » serait-il « savoir-être » ?

Et vous, qui êtes-vous ?

Suggestion de lecture

EEME - Et tu trouveras le trésor qui dort en toi - Laurent Gounelle

Et tu trouveras le trésor en toi - Laurent Gounelle

Alice, une jeune femme dynamique et audacieuse, retrouve son ami d'enfance, Jérémie. Devenu prêtre de campagne, il lui confie être accablé par le faible nombre de fidèles. Athée et conseillère en communication, Alice se met en tête de l'aider... à sa manière. Amenée par la force des choses à se plonger dans le monde de la spiritualité, du christianisme à l'hindouisme, du taoïsme au bouddhisme, elle va alors découvrir une vérité universelle. Une vérité concernant l'homme et la clé de son épanouissement, passée sous silence par les religieux, perdue au fil des siècles... | Acheter sur Amazon



Bibliographie EEME
Consulter


Marie-Joséphine Mazza

Praticienne certifiée Hypnose & EMDR

Consultation sur rendez-vous au 06 59 70 60 47

18 rue Pierre de Coubertin - 33700 Mérignac

Etre Et Mieux-Etre - eeme.fr