Catégorie : Ressentir

Le respect semble s’exiger, s’imposer, se gagner ou se mériter. En effet, notre statut, nos actions et nos comportements confèrent un certain degré de considération. Pourtant, dans la philosophie bouddhiste, le respect envers tout être humain, tout animal, tout végétal et même tout minéral est une règle de vie. Alors, comment expliquer que certaines personnes n’arrivent pas à se faire respecter ? Et y a-t-il un lien entre le respect des autres et celui que l’on s’octroie ?

Le respect par définition

Le respect évoque l'aptitude à considérer ce qui a été énoncé et admis dans le passé, et d'en tirer les conséquences dans le présent. Dans le cadre d’un engagement, il peut ainsi être question du respect d'une promesse, d'un contrat ou des règles d'un jeu.

Le respect prend également la forme de dignité. Il s’agit ici d’être reconnu dans son existence même, à savoir en tant qu’être humain. L’histoire montre qu’il n’a pas toujours été question de bienveillance les uns envers les autres. Dans la constitution américaine, avant l’abolition de l’esclavage, l’homme noir était considéré comme une marchandise. Dans certains pays encore, la femme ne jouit pas des mêmes droits que la gente masculine. Malheureusement, les exemples ne manquent pas.

Enfin, le terme respect a un sens qui se rapproche plus des valeurs d'estime et de mérite lorsqu'il est appliqué individuellement. Notamment, au regard des actes accomplis conférant une certaine respectabilité.

Le respect, une histoire de mérite

Dans la société actuelle, le respect est octroyé de manière estimative. En effet, celui-ci est une forme de reconnaissance des compétences et des actions de chacun. Cette évaluation de la performance s’illustre à l’école où nous attribuons des notes afin de mesurer le progrès, créant alors une certaine forme de compétition dès le plus jeune âge. Le respect gagné ainsi peut être perçu comme une récompense publique.

Chacun a son champ de compétences. Si vous n’excellez pas dans un domaine, vous vous illustrerez dans un autre. Souvenez-vous que les comparaisons sont rarement bienfaisantes.

Le respect, une histoire de tolérance

« La tolérance ne devrait être qu'un état transitoire. Elle doit mener au respect. Tolérer c'est offenser. » - Goethe

Force est de constater qu’il ne semble pas évident de vivre avec l’autre. Pour preuves : le nombre de guerres, d’attentats, de violences physiques et verbales qui rythment les informations. Ainsi lorsque la différence est connue, parfois même affichée ou revendiquée, c’est bien souvent et malheureusement l’intolérance qui est l’attitude la plus répandue. Il ne s’agit pas tant de haine mais plutôt de la peur de l’autre car l’intolérance est un sentiment certes agressif, mais surtout défensif.

Ainsi, la tolérance ne peut être conçue, que comme une attitude positive qui serait le résultat de la comparaison et de la réflexion. Qu’ai-je de plus que l’autre ? Suis-je mieux que l’autre ? Nous nous devons de respecter la différence de l’autre, parce qu’il a notamment le droit d’être différent.

Attention toutefois, tolérer ne doit pas amener au laisser-aller ou à la permissivité. Car toutes les valeurs ne se valent pas. Sinon, il n’y aurait aucune raison à lutter contre la violence et à aspirer à la paix. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il existe un seuil de tolérance.

L’intolérable n’est pas l’intolérance. La tolérance n’est pas le respect. Le respect est la seule valeur qui permet de vivre ensemble en paix.

Le respect, une histoire de valeur

« La liberté c’est le respect des droits de chacun ; l’ordre c’est le respect des droits de tous. » - Marbeau

Le respect est le seul vrai sentiment moral qui ait la capacité de rendre viables des valeurs différentes. En effet, quand la tolérance s’illustre par un pacte de non-agression, le respect s’enrichit de la rencontre de l’autre. Respecter son prochain, c’est lui accorder de l’attention et de la considération. C’est également ouvrir la voie au dialogue et accueillir une nouvelle vision du monde qui pourrait faire de nous des êtres nouveaux.

Accepter l’autre, c’est franchir le pas de la tolérance vers la considération.

« Si vous voulez être respecté, commencez par être respectable. » - Somerset Maugham

Ainsi, respecter l’autre demande un effort d’ouverture. Mais se faire respecter n’est pas un acte évident non plus. Beaucoup ne parviennent pas à se faire respecter et se font sans cesse marcher sur les pieds. Et pour cause, ces personnes ont un grand besoin de reconnaissance et d’amour. Alors, pour recevoir un peu d’attention, elles sont capables de tout accepter, d’être rabaissées et de mettre ainsi leur dignité de côté. Elles pensent à tort qu’en se soumettant aux désirs de l’autre, elles pourront être aimées et ne seront par conséquent, ni rejetées, ni abandonnées. Or, la sympathie ou la trop grande gentillesse n’amènent absolument pas au respect.

Afin d’imposer le respect, il est essentiel de savoir poser des limites. Cela consiste à savoir dire non, ne pas laisser l’autre envahir son espace vital ou partir quand une situation ne nous convient pas. L’attitude corporelle est également à soigner. Car un regard fuyant, une poignée de main molle, une position nonchalante n’inspirent pas le respect.

L’oubli de soi a des conséquences désastreuses car être trop dévoué entraîne le manque de respect. Face à ce triste constat, l’estime de soi chute inexorablement.

Pour vous faire respecter, soignez votre attitude et vos comportements.

Le respect, une histoire d’affirmation de soi

« Si on n’a pas confiance en soi, si on n’a pas de respect, de considération, d’estime pour soi-même, on ne peut pas être un homme, même ordinaire. » - Yasmina Khadra

Il est important de s’affirmer pour pouvoir être respecté. Et gagner le respect des autres permet d'avoir une bonne estime de soi. L’affirmation de soi est un savant équilibre entre confiance en soi, estime de soi, établissement de limites et dépassement de certaines peurs. L’idée n’est donc pas de se croire au centre du monde, ni de penser que nous ne sommes rien. S’affirmer n’est pas avoir des exigences autoritaires, ni se plaindre sans cesse. S’affirmer, c’est exprimer et faire entendre ses besoins, ses envies ou ses opinions. Cette capacité à pouvoir s’affirmer par une communication respectueuse de son interlocuteur et de soi-même s’appelle l’assertivité. Cette attitude permet des relations beaucoup plus saines car elle favorise la confiance et la compréhension mutuelle.

Affirmez-vous pour gagner confiance en vous.

Et vous, respectez-vous les autres autant que vous-même ?

Suggestion de lecture

Marie-Joséphine Mazza

Praticienne certifiée Hypnose & EMDR

Consultation sur rendez-vous au 06 59 70 60 47

18 rue Pierre de Coubertin - 33700 Mérignac

Etre Et Mieux-Etre - eeme.fr

Dans les traditions ancestrales ou dans les textes religieux, la sincérité occupe une place de choix. Autant élevée au rang de vertu que gage de respect dans les relations sociales, la sincérité semble pourtant difficile à conjuguer avec notre mode de vie occidental. D’ailleurs, comment se définit la sincérité ? Est-elle une condition essentielle à une existence accomplie ? Et de quelle manière est-on sincère avec les autres et avec soi-même ?

La sincérité comme vertu

« L’honnêteté, la sincérité, la simplicité, l’humilité, la générosité, l’absence de vanité, la capacité à servir les autres, qualités à la portée de tous. » - Nelson Mandela

Que ce soient en termes philosophiques ou religieux, la sincérité est l’expression fidèle des sentiments réels et se fait l’écho de l’honnêteté, de l'authenticité, de la loyauté et de la vérité. La sincérité implique alors une adéquation entre les pensées et les paroles d’une personne. D’ailleurs, il en va de la crédibilité de l’individu qui se verra élevé ou rabaissé selon la véracité de ses propos.

Préférez la vérité au mensonge car tout finit par ressurgir.

La sincérité comme limite

 « La politesse vaut mieux que la sincérité, car la politesse fait toujours confiance à l'intelligence d'autrui. » - Roland Barthes

Dire ce que l’on pense n’est pas toujours de bon augure : la sincérité a ses limites. En effet, beaucoup de choses peuvent être dites, tout dépend de la manière dont elles sont énoncées. Mais attention, notre interlocuteur n’est pas toujours prêt à entendre ce que l’on a à lui dire. Il y a les partisans de la vérité et puis, il y a ceux qui préfèrent ne pas savoir. Car bien souvent, la vérité dérange ou blesse. La sincérité ne doit pas être synonyme de méchanceté.

Gardez pour vous tout propos qui pourrait déranger et que l’on ne vous aurait pas demandé.

« La sincérité est parfois une audace de grand mérite, parfois lâche facilité. » - Pierre Dehaye

Il y a un temps pour tout, notamment dans l’apprentissage de ce que l’on ignore. En effet, les leçons sont bien souvent mieux assimilées quand nous les expérimentons par nous-mêmes.

Se pose alors la question de la légitimité : énoncer des réalités, des critiques aux autres alors que nous sommes mal placés pour le faire, rendent caduques toute vérité prononcée, quand bien même la teneur des propos s’avérerait vraie.

« La sincérité est de verre ; la discrétion est de diamant. » - André Maurois

Enfin, la sincérité ne signifie pas une transparence absolue au tout venant. Tact et retenue sont indispensables car protègent la sensibilité de l’autre ainsi que notre intimité.

Gardez à l’esprit qu’il est préférable que certains aspects de votre vie privée restent intimes.

La sincérité avec les autres

La sincérité peut avoir un degré différent selon la confiance que nous plaçons en la personne à qui l’on s’adresse. Il existe des faits qui peuvent être connus de tous, d’autres qui sont réservés aux amis et d’autres encore qui ne concernent que la famille ou l’entreprise dans laquelle nous travaillons. Il est alors question de sincérité prudente voire de confidentialité.

Restez digne de confiance : gardez le silence si vous n’êtes pas certain des intentions de votre interlocuteur.

« La meilleure occasion pour éprouver la sincérité d'un ami, c'est le moment où vous lui annoncerez un malheur qui vient de vous frapper. » - Arthur Schopenhauer

Dans notre société, la sincérité n’est pas toujours bien perçue car elle peut être cause de rejet. Etre sincère c’est potentiellement s’exposer à une réprimande ou à être moins apprécié, parfois même rejeté ! C’est la raison pour laquelle beaucoup arrangent la vérité, usent d’hypocrisie, souvent dans un besoin de reconnaissance ou d’affection.

Chacun peut commettre des erreurs, reconnaissez les vôtres en toute objectivité et présentez des excuses sincères si nécessaire. Vous éviterez ainsi des situations qui seraient vouées à se dégrader.

« La sincérité est une ouverture de cœur. On la trouve en fort peu de gens, et celle que l’on voit d’ordinaire n’est qu’une fine dissimulation pour attirer la confiance des autres. » - François de La Rochefoucauld

Certains travestissent la vérité ou trompent les autres pour leur propre intérêt. Ils vivent alors une vie d’apparences, bien pauvre dans leurs relations humaines. Le manque de sincérité est source de souffrance. Evoluer auprès de personnes manipulatrices n’est ni agréable, ni valorisant. Cela peut même être parfois destructeur ! Nous nous sentons bien mieux dans un environnement où règnent sincérité, confiance et bienveillance.

Entourez-vous de personnes sincères. Elles vous prodigueront conseils adéquats et encouragements opportuns.

La sincérité avec soi-même

« C'est probablement cela, le début de la sérénité ; s'accorder de nouveau avec son enfance pour éprouver avec plus de justesse et de sincérité ce qu'il reste à vivre. » - Roseline Cardina

Cela peut sembler ridicule que de penser que l’on puisse ne pas être sincère avec soi-même et pourtant, se voiler la face est bien plus fréquent qu’on ne le croit !

Dans les faits, il est question, de mauvais jugement à notre égard. Certains ont tendance à l’orgueil à se croire meilleurs que ce qu’ils sont en réalité en niant leurs défauts. Quand d’autres au contraire, ont un penchant à se croire bien inférieurs, en minimisant leurs qualités. Il est question ici d’un problème d’estime de soi.

Il peut également s’agir de commodité consciente ou non : reconnaitre un défaut, c’est commencer à le corriger. Or, changer exige des efforts et il n’est pas rare de remettre cette bataille à plus tard qui peut devenir jamais. D’ailleurs, qui n’a pas déjà entendu « Ce n’est pas maintenant que je vais changer ! » ?

Or, être sincère avec soi-même, c’est s’estimer, se respecter, permettant de se corriger et ainsi, de se bonifier.

Remettez-vous régulièrement en question, cela vous permettra d’améliorer votre quotidien et celui de ceux qui vous entourent.

Il n’est pas toujours facile de s’apercevoir que nous ne sommes pas totalement sincères avec nous-mêmes. Et pour cause, il nous arrive d’évincer notre voix intérieure ou alors de s’infliger des injonctions pour nous convaincre du bien-fondé d’une situation. Si nous n’arrivons pas toujours à nous écouter, nous avons la possibilité d’observer notre corps, car celui-ci parle malgré nous. Chaque jour, nous vivons des événements qui engendrent des émotions et celles-ci se manifestent par certaines modifications corporelles qui peuvent paraitre imperceptibles : accélération du rythme cardiaque, modification de notre respiration, transpiration, changement du timbre de voix…

Pensez à vous regarder, à vous analyser. Cela vous permettra de savoir ce que vous dissimulez. Vous pourrez ainsi mieux interpréter vos comportements.

Et vous, êtes-vous toujours sincère envers vous et avec les autres ?

Suggestion de lecture

Marie-Joséphine Mazza

Praticienne certifiée Hypnose & EMDR

Consultation sur rendez-vous au 06 59 70 60 47

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Etre Et Mieux-Etre - eeme.fr

Beaucoup confessent ne pas être épanouis sans pour autant se considérer comme « malheureux ». Etre conscient de ce qu’il manque pour accéder au bien-être est la première étape du processus du mieux-être.

Un travail personnel consiste alors à prendre la mesure de ce que l’on a, tenter de retrouver ce que l’on a perdu et s’entraîner à acquérir ce qu'il nous manque. Et pour ce faire, il est primordial d’être à son écoute!

 Car, avant toute chose, le « Mieux-Etre » est de savoir « Etre ».

Le mieux-être, c’est être acteur de son existence.

« Je n’ai pas besoin d’être ce que les autres veulent que je sois. Et je n’ai pas peur d’être ce que je veux être et de penser ce que je veux penser. » - Mohamed Ali

Des parents qui décident du métier de leur progéniture. Un partenaire qui choisit systématiquement la destination des vacances. Une société qui impose ses diktats de la mode… Les exemples ne manquent pas lorsqu’il est question de se laisser guider par les autres, au point de s’effacer, d’oublier son individualité puis d’avoir le sentiment de ne plus exister.Si c’est votre cas, vous vous demandez pour quelle raison vous vous êtes laissé faire. A quel moment vous avez cédé pour faire plaisir, pour avoir la paix. Cela commence généralement de manière anodine avec la fameuse phrase « comme tu veux » qui devient une rengaine et qui laisse l’autre décider, puis vous contrôler. Ce type de fonctionnement est appelé « assujettissement ». En d’autres termes, par peur de ne pas être aimé, accepté, vous avez fait passer l'autre avant.Quand vous faites passer les besoins des autres avant les vôtres, vous vous mettez en danger psychique. Parce que vos besoins qui restent en arrière-plan, ne sont jamais satisfaits, vous empêchant alors d'être heureux. A force de vous effacer, vous oubliez peu à peu qui vous êtes.

Décidez de la personne que vous voulez être. Souvenez-vous de ce qui vous anime, de ce que vous aimez. Ne vous oubliez pas. Osez donner votre avis. Osez dire non. Faites-vous entendre. Soyez acteur de votre existence!

Le mieux-être, c’est savoir avoir.

« Nous avons gaspillé nos richesses car nous nous sommes laissés aveugler par l'attrait de l'avoir au détriment de notre bien-être intérieur... paraître devient plus important qu'être... » - Daniel Vranckx

Bien plus que de posséder une voiture, un sac de luxe ou le téléphone dernier cri, la clé du bonheur serait de multiplier les expériences. Tellement de gens dépensent leur argent dans des objets dont ils se lassent rapidement. Il leur faut toujours de nouveaux biens matériels pour combler un vide qui est rarement dans les armoires. Cette frénésie consommatrice est sans fin et ne donne qu’une satisfaction provisoire.

L’idée n’est pas de ne plus consommer, de ne plus se faire plaisir mais plutôt de tenter, autant que faire se peut, de s’offrir des souvenirs par les expériences, plutôt que par le matériel. En effet, on se remémore avec autant de joie, voire plus, les événements heureux. Par ailleurs, les expériences prennent de nouvelles significations avec le temps, tandis que les biens matériels, eux, ne font guère que vieillir, s'abîmer ou devenir moins performants. On s’habitue progressivement aux objets dont la valeur et l'intérêt qu'ils suscitent, diminuent tôt ou tard. Les expériences sont uniques alors que les objets sont facilement et négativement comparables : il existe toujours mieux, plus performant et plus cher… Enfin, les expériences de vie sont généralement socialement partagées, tandis que les biens matériels le sont beaucoup moins.

Préférez les souvenirs aux objets. Ils vivront plus longtemps dans votre esprit et vos souvenirs.

Le mieux-être, c’est savoir s’entourer.

« Certaines personnes sèment le bonheur partout où elles vont ; d’autres, quand elles s’en vont. » - Oscar Wilde

Il y a des personnes qui participent activement à notre bien-être. Et d’autres, au contraire, qui sont de véritables relations toxiques qui nous empêchent d’être heureux. Il est question ici de ceux qui jugent, regardent de haut, rabaissent, mentent, manipulent, utilisent l’autre pour se valoriser. Mais également, les éternels insatisfaits qui banalisent chaque réalisation ; les capricieux qui déversent leur frustration ; les victimes qui se complaisent dans la souffrance pour se sentir exister.

Un contact prolongé avec une personne toxique engendre des sentiments de culpabilité, d’anxiété, de tristesse, et de frustration qui vous fait sombrer dans un abîme où disparaît l’estime de soi.

Ne vous épuisez pas à tenter de changer ces personnes toxiques. Pensez à vous, éloignez-vous !

Mentionnez néanmoins les raisons de la prise de distance. L’autre peut ainsi s’en servir pour prendre conscience de son comportement et peut-être y apporter quelques améliorations.

Le mieux-être, c’est être bien à l’intérieur.

« Le plaisir n'est que le bonheur d'un point du corps. Le vrai bonheur, le seul bonheur, tout le bonheur est dans le bien-être de toute l'âme. » - Joseph Joubert

Pour votre bien-être, il est important que vous sachiez vous détendre, vous ressourcer et lutter contre le stress. Le mieux-être s’assure en prenant soin de son corps et de son esprit. Ayez à cœur d’avoir une hygiène de vie équilibrée, notamment avec une consommation suffisante d’eau permettant un bon fonctionnement de l’organisme. Faites également le plein de vitamines grâce à une alimentation équilibrée et prenez régulièrement des bains de soleil pour éviter les coups de fatigue. Enfin, dormez 7 à 8 heures par nuit.

Par ailleurs, la sédentarité est le mal du siècle, efforcez-vous de pratiquer une activité physique. Conséquence de notre vie un brin mobile et antisportive, nos muscles finissent par se contracter, tirer et créer des tensions et des maux de tête. Apprenez donc à vous étirer.

Afin de relâcher la pression, de dénouer les tensions et de mieux dormir, riez. Le rire est anti-stress, relaxant et stimulant et il rend tout simplement heureux, crée du partage, de l’échange et augmente la confiance en soi.

Lorsque vous sentez la moindre contrariété, arrêtez tout, recentrez-vous et respirez !

Rien de tel qu’une respiration profonde et consciente de cinq minutes pour retrouver pied. N’oubliez pas non plus de prendre du temps pour vous. Faites-vous plaisir : un bon massage, un soin du corps ou autre friandise corporelle. Prenez également le temps. Prendre son temps, ce n’est pas ne rien faire, mais partir à l’aventure : se découvrir, apprécier ses ressources personnelles, développer ses qualités. C’est aussi prendre du recul par rapport au quotidien. Enfin, apprenez à déconnecter. Nous sommes cernés par les objets connectés. Éloignez les écrans le plus possible de votre quotidien.

Le mieux-être, c’est la combinaison de tous les aspects du bien-être et il est le cheminement vers le bonheur.

Et vous, êtes-vous sur la bonne voie ?

Suggestion de lecture

Marie-Joséphine Mazza

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